Entretien Lamara Kaddour. Recteur de l’université de Jijel
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- Création : jeudi 13 août 2015 13:53
- Mis à jour : jeudi 3 septembre 2015 18:00
- Publication : jeudi 13 août 2015 13:53
- Écrit par MedSouilah
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Dans quelles conditions se sont déroulées les inscriptions universitaires ?
Comme vous l’avez pu le constater, c’est tout un dispositif humain et matériel, avec, notamment, un matériel bureautique et informatique, qui a été mis en place pour cette opération. L’orientation des bacheliers a été confiée à l’administration centrale au niveau de l’auditorium ; nous avons veillé aussi à ce que le personnel administratif de chaque faculté soit mobilisé pour s’occuper des inscriptions des étudiants orientés vers ces mêmes facultés
Comment vous préparez la rentrée universitaire ?
Notre souci a d’abord été la préparation des locaux et de l’encadrement pédagogiques. En plus du recours aux vacataires pour pallier au déficit enregistré, notamment dans les filières de l’anglais et de l’architecture. Un concours de recrutement de 48 enseignants est en cours de préparation. A ce titre il faut souligner que nous disposons à l’université de Jijel de 24000 places pédagogiques, dont 14000 au campus universitaire de Tassoust et 10000 au campus central.
Qu’en est-il du taux d’échec et de réussite à l’université de Jijel ?
Si on parle d’échec, il faut d’abord noter que dans le bilan 2013/2014, prés de 5% des nouveaux étudiants inscrits en première année universitaire ont abandonné leurs études pour aller repasser leur baccalauréat.
A la faveur des ces données, nous avons pu avoir l’idée que l’échec concerne beaucoup plus les étudiants de la faculté des sciences et de technologie, qui arrive en tête avec un taux de 31,47%, puis celle des sciences exactes et de l’informatique, avec un taux de 30,27%, suivies des sciences de la nature et de la vie avec un taux de 27,66%. Les facultés qui enregistrent le plus fort taux de réussite sont celles des sciences humaines et sociales, avec un taux de 92,61% et des lettres et langues avec un taux de 87,22%. Ces statistiques portent à 74,56% le taux de réussite général à l’université de Jijel pour un taux d’échec de 20,66%.
Elwatan
Commentaires
Je me demande si ce monsieur est vraiment le Recteur de l'Université de Jijel ? Cette photo a été publiée dans le journal électronique Liberté et ce monsieur a été présenté comme le SG du syndicat d'ArcelorMittal et son nom Noureddine Amouri. Un autre article dans le journal électronique El Watan a présenté ce monsieur comme le Recteur de l'Université de Jijel. JijelInfo a intégralement copié l'article d'El Watan.
Je me demande elle est ou la crédibilité de la presse et pourquoi les articles sont lancés comme de la sauce à la figure des lecteurs sans prendre la peine de vérifier le contenu, donner l'information est un devoir du journaliste et crédibilité fait partie de la charte d'éthique du métier.
Cdt
*Supression de l'examen de 5éme.
*Revoir la durée du BAC
*Generalisation du pré-scolaire.
*Livre unique.
*Multiplication des ENS.
*Revoir les programmes.
* Donner plus d'autonomie aux equipes pedagogiques.
*UTILISATION DU DIALECT .
Et là, un tombereau d'invectives sur Madame la ministre de l'education.Tous les islamo-conservateurs , sont sortis de leur torpeur , pour defendre la langue arabe ,un bien qu'ils ont confisqués comme arme contre toutes personnes voulant s'emanciper et s'ouvrir sur le monde. Un deputé, chef du groupe FLN a l'assemblée, a meme eu le culot de demander au ministre d'aller apprendre l'arabe.Lui le fervent de l'import-import,ou a t'il placé sa progeniture.?.
Un autre deputé, apparatchik algerois RND, guidé par son mentor qui squatte la presidence , à lui aussi attaqué Madame Benghebrit."Pour la reptation vous etes imbattables.(L.Ferré) Tous ses collegues du gouvernement eux aussi sont aux abonnés absents.Ils ont peur de ces maitres pensants qui sevissent dans nos ecoles et mosquées .
LA REPUBLIQUE EST MAL AU POINT.
Il faut reconnaitre que Madame L.Hanoun a pris la defense de notre ministre.
Aprés A.Benyounes , on veut eliminer Benghebrit car ces 2 ministres ont touchés aux interets de ces vereux qui ont pris en otage tout un peuple.
La problematique de l'eduaction ,n'interesse pas ces messieurs, puisque eux ils vont placer leurs enfants et leurs donneront les codes pour preserver le pouvoir de leur parents..
Eux c'est l'Algerie d'en haut.
On permet a l'Algerie d'en bas de vivre dans la promiscuité, la saleté, l'informel, hogra, et l'indignité de ces sous qu(ils veulent bien nous donner. avec parcimonie.
On voit bien que l'éducation. Intéresse pas grand monde!
La preuve, le moindre sujet touchant à l'alimentaire va avoir des dizaines de commentaires .....
Le problème de l'éducation , orientation et autres réflexions pour l'avenir ne suscite pas grand débat ....
Nous sommes 3 à en parler......
C'est a l'image du pays et surtout de ses dirigeants!
L'Algérien n'a plus de rêves, et encore moins de volonté pour progresser.....juste un tube digestif, un volant de 4x4, et de la magouille pour survivre.....
Ceux de novembre 54 doivent se retourner dans leurs tombes...
Mon conseil aux jeunes : cassez vous, vous n'avez qu'une vie......
Bonne chance
Foughali.....facts & figures.....
A part le nombre de bouches à nourrir, qu'est ce qui a progressé depuis 1962 ?
CONFIDENTIEL13.08.2015 12:09
Il y a quelques mois, le ministère de l’Enseignement supérieur lançait une enquête sur des recteurs d’universités soupçonnés d’avoir fait preuve de favoritisme en délivrant des diplômes à certains hauts responsables politiques. Ces derniers étaient juste inscrits dans ces établissements mais n’avaient assisté à aucun cours.
Parmi les bénéficiaires figurent des députés, et même un ministre. Il s’avère qu’ils sont membres du Front de libération nationale. Pour l’heure, aucune mesure n’a été prise contre les recteurs qui ont commis ces actes.
Le probleme reside lors de la confection des cartes pedagogiques, Maintenant on met en place les divisions pedagogiques et aprés on les remplit.Peu importe le profil des eleves .
En principe on doit faire une pre-orientation et a partir de là on etablit les divisions .
Au niveau de l'université on doit avec l'aide du centre d'orientation scolaire, faire une pré-orientation des futures bacheliers et on etablira par la suite les divisions en fonction des profils des eleves deja etudiés.
Surtout , que chaque wilaya , maintenant a son université..Quand aux facs de medecine, les grandes ecoles , et les instituts , l'orientation sera traitée en cnference regionale
DONC ETABLISSEMENT DES PROFILS D"ORIENTATION ET APRES MISE EN PLACE DES DIVISIONS PEDAGOGIQUES .ET NON L'INVERSE
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