Dégradation des blocs d’habitation à El Milia (Jijel ): La communication n’est pas le fort de l’OPGI
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- Création : samedi 14 novembre 2015 19:35
- Mis à jour : samedi 14 novembre 2015 19:36
- Publication : samedi 14 novembre 2015 19:35
- Écrit par MedSouilah
- Affichages : 1312
Aller vous plaindre ! » est, semble-t-il, la formule chère au responsable de l’OPGI d’El Milia, à l’est de Jijel! Débordé par les incessantes requêtes sur l’état de dégradation des blocs d’habitation relevant du domaine de gestion et d’entretien de l’OPGI, ce responsable ne trouve visiblement que cette formule à balancer à la face de ses interlocuteurs !
Drôle de com., serions nous tentés de dire, à un moment où le citoyen a cru bon d’oublier ce langage d’une autre époque. N’est ce pas que c’est tout le discours officiel insistant sur la communication et le bon accueil dans les établissements et administrations publics qui se trouve battu en brèche par cette façon de répondre aux gens ? Le comble est que notre vaillant responsable, et dès qu’il est interpellé sur l’état des blocs, c’est la maitrise de soit qui lui échappe.
Infiltration d’eau, fissures, caves inondées, sont, par ailleurs, les problèmes, dont souffrent des citoyens vivant dans des appartements inhabitables, notamment durant la période des pluies.
Si les locataires ont le droit de solliciter l’OPGI pour une intervention, qui ne vient que rarement, pour réparer ces défaillances, les acquéreurs, qui ont hérité de logements dans le cadre de la politique de cession des biens de l’Etat, n’ont aucun droit de crier à cette catastrophe. Leurs appartements sont pourtant situés dans des blocs appartenant à l’OPGI.
«Dans ce cas, je suis prêt à payer ce qui me revient si on répare ces défaillances, pourvu que l’OPGI intervienne !», clame un acquéreur. Même les blocs où il n’ y a que très peu d’acquéreurs et une majorité de locataires sont confrontés à cette situation qui menace l’intégrité du parc de logement. Pour fuir cette réalité, on continue, à l’OPGI d’El Milia, de recevoir le citoyen se plaignant de cet état avec arrogance et mépris! Pendant ce temps, on insiste, comble du paradoxe, sur le bon accueil pour mener à bien l’opération de cession des logements acquis avant 2004.
Adam S.
Commentaires
Ya Monsieur abdelah, en tant q'administrateur je te préviens que cela ne vas pas durer longtemps !!
Ceci étant le premier avertissement !
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