Des images du jour: Décharge devant une école...
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- Création : mardi 26 janvier 2016 19:27
- Mis à jour : mercredi 27 janvier 2016 12:37
- Publication : mardi 26 janvier 2016 19:27
- Écrit par Administration jijel.info
- Affichages : 1720
Voici quelques images envoyées par un lecteur jijel.info, prises devant l'école primaire El waha » (école de L’OASIS).
Selon toujours ce lecteur, le directeur avait dit, qu'il ne pouvait rien faire devant cette anarchie.
Les jeunes enfants sont obligés de traverser cette décharge à ciel ouvert, pour rejoindre l'école.
Photos: Smain HMD
Commentaires
Le problème est connu et sa solutions aussi.
Le hic est qu'il est loin de la coupe aux lèvres.
Pour appliquer cette solution, il faudra au préalable et initialement retourner à l'origine mêrme et à la source du problème :
Quels sont les parents, dans leur majorité, qui éduquent leurs enfants afin que ces derniers évitent de tout jeter partout. Est-il dispensé à l'école une éducation civique également ?
Le problème fondamental revient donc aux parents, eux-mêmes en déficit d'éducation du fait que la majorité des citoyens résidants dans les cités et quartiers jettent leurs détritus un peu partout en toute inconscience.
Il ne se trouvera jamais, ou rarement, des citoyens pour crier au hola en entamant le nécessaire auprès de l'administration afin d'acquérir des poubelles.
L'autre problème de base est donc un manque flagrant de toute forme d'organisation du citoyen à l'effet d'essayer de vivre dans un espace sain.
L'idée ne parcourt même pas les esprits.
De l'autre côté, celui de l'administration, le problème est identique ; bienpeu se soucient de la propeté de la ville sinon, il y aurait, par exemple, des corbeilles à papier attachées à chaque luminaire, ceci déjà pour éviter aux citoyens de jeter leur paquet de cigarertte, vide, leur bouteille vide, leur gobelet de café qu'ils boivent en se promenant, leur journal et tant d'autres choses.
En conclusion, la situation peut se résumer par cet adage populaire :"ki sidi, ki lalla".
De là à ce que le citoyen algérien apprenne à vivre harmonieusement dans une ville, il coulera des torrents d'eau sous les ponts.
Ou alors il faudra instaurer la politique du "chettreb" : "adarbou yehkem maderbou"
Seulement voilà : Allah ghalleb ya sid taleb, hada ma halbet el begra...
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