JIJEL : UNE ADMINISTRATION EN DÉFAUT
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- Création : mardi 8 mars 2016 18:59
- Mis à jour : mardi 8 mars 2016 19:14
- Publication : mardi 8 mars 2016 18:59
- Écrit par Administration jijel.info
- Affichages : 1730
Les résultats et conséquences d'une faillite dans la gestion administrative, désirée par le commun efficace et pratique, sont partout visibles. Ceci, sans doute, en raison d'une impuissance caractérisée et une incapacité prouvée à s'organiser pour prévoir, planifier et suivre de manière efficiente les moindres soubresauts et événements physiques de la ville..
Il est souvent donné au citoyen cette désagréable impression d'un noyade collective et d'un égarement dans les méandres des dissensions diverses existentes entre le personnel administratif, entre autres mésententes empoisonnant la bonne marche des rouages de l'administration locale.
Des tiraillements chroniques et persistants.
Au camp Chevalier, le long de la rue des frères Bouketta, il y a cette fosse. Une excavation faite depuis trois mois relativement, à la suite de la demande d'un locataire, résidant à ce niveau, désireux d'établir un branchement d'eau, ou d'écoulement de son égoût.
Une fosse qu'il avait lui-même creusé, selon les dires du voisinage, en ayant risqué l'électrocution en raison de la présence d'un câble éléctrique à cet endroit précis, qu'il avait touché du bout de sa pioche, générant ainsi une forte étincelle. Le moins à dire est qu'il l'avait échappé belle !
Voilà donc trois mois écoulés d'une galère pour la circulation automobile le long de cette rue, déjà assez exiguë, entre autres cavités creusées autour de ces regards d'égoûts qu'on enterre après avoir macadamisé, et qu'il faut dévoiler de nouveau.
Dernièrement, le proprétaire de la grande surface à poximité, alors que les eaux d'égoûts ont pénétré son domicile, avait carrément mis son camion en travers de la rue pour barrer le passage et, ainsi, forcer l'intervention des autorités afin de les ameuter au sujet de cette fosse barrant la moité de la rue, qui n'est toujours pas comblée au jour d'aujourd'hui.
La chose se traduisant par un chantier toujours ouvert.
Qui est responsable, pourquoi tout cet atermoiement pour si peu de choses, pouvant s'averer du plus dangereux, la question est posée.
Noureddine Bousdira jijel.info
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