Ce mal silencieux qui nous torture.
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- Création : mardi 3 septembre 2019 11:39
- Mis à jour : mardi 3 septembre 2019 11:42
- Publication : mardi 3 septembre 2019 11:39
- Écrit par MedSouilah
- Affichages : 480
Vivre à proximité d'une fête de mariage, chez nous à Jijel, c'est vivre une torture.
Tout le monde klaxonne, des explosions, des cris, des hauts parleurs...
Pourtant, la loi interdit le dépassement d'un certain seuil de décibels. Le tapage nocturne a atteint des seuils intolérables dans certains quartiers... La loi interdit pourtant à toute personne de causer des bruits pouvant déranger le voisinage au-delà d'une certaine heure de la nuit.
En ce moment même, nous vivons le calvaire.
A t-on pensé aux malades, aux bébés ?
Hélas cette situation a atteint des seuils intolérables...
Les normes réglementaires telles qui sont définis par les dispositions du décret exécutif n°93-184 du 27 juillet 1993 qui réglemente la tolérance de l'émission des bruits. Son article 2 stipule que : « les niveaux sonores maximums admis dans les zonesd'habitations et dans les voies et lieux publics ou privés sont de 70 décibels pendant la journée qui s’étale de 6 heures à 22 heures et de 45 décibels en période nocturne soit de 22h à 6h. L'article 3 précise : « Les niveaux sonores maximums admis au voisinage immédiat des établissements hospitaliers ou d'enseignement et dans les aires de repos et de détente ainsi que dans leur enceinte sont de 45 décibels en période diurne et de 40 décibels entre 22h et 6h. Toutes les émissions sonores supérieures aux valeurs réglementées par le décret ci-cité sont considérées comme une atteinte à la sérénité du voisinage, une gêne excessive, une perniciosité à la santé et une subtilisation de la tranquillité de la population.
Commentaires
Le plus grande dérangement c'est le motocycles qui circulent et faisant un bruit infernale !
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